ROTTERDAM – Les personnes se situant le plus bas sur l’échelle socio-économique (ce que l’on détermine selon leur niveau d’instruction, leur profession ou leurs revenus) vivent en moyenne moins longtemps et en moins bonne santé que celles se évoluant sur des échelons supérieurs. L’espérance de vie à la naissance est en effet susceptible de varier à hauteur de 5 à 10 ans en fonction de la situation sociale et économique de l’individu, les plus pauvres souffrant 10 à 20 ans de plus de la maladie ou du handicap au cours de leur existence par rapport aux plus riches.
ROTTERDAM – Les personnes se situant le plus bas sur l’échelle socio-économique (ce que l’on détermine selon leur niveau d’instruction, leur profession ou leurs revenus) vivent en moyenne moins longtemps et en moins bonne santé que celles se évoluant sur des échelons supérieurs. L’espérance de vie à la naissance est en effet susceptible de varier à hauteur de 5 à 10 ans en fonction de la situation sociale et économique de l’individu, les plus pauvres souffrant 10 à 20 ans de plus de la maladie ou du handicap au cours de leur existence par rapport aux plus riches.