BUENOS AIRES – Les causes désespérées appellent des mesures désespérées. Le dernier train de mesures pour faire face à l'insolvabilité de la Grèce prévoit le rachat d'obligations du pays pour alléger le fardeau de sa dette. Il s'agit en fait d'une restructuration déguisée de la dette grâce à des fonds d'urgence provenant d'Europe c.-à-d. du Fonds européen de stabilité financière (FESF) qui avancerait les fonds à la Grèce pour le rachat sur le marché secondaire à fort escompte sans avoir à déclarer de défaut, mais forçant ainsi la main aux créanciers du secteur privé pour qu'ils essuient une partie des pertes.
BUENOS AIRES – Les causes désespérées appellent des mesures désespérées. Le dernier train de mesures pour faire face à l'insolvabilité de la Grèce prévoit le rachat d'obligations du pays pour alléger le fardeau de sa dette. Il s'agit en fait d'une restructuration déguisée de la dette grâce à des fonds d'urgence provenant d'Europe c.-à-d. du Fonds européen de stabilité financière (FESF) qui avancerait les fonds à la Grèce pour le rachat sur le marché secondaire à fort escompte sans avoir à déclarer de défaut, mais forçant ainsi la main aux créanciers du secteur privé pour qu'ils essuient une partie des pertes.