ISTANBUL – La réalité épique de l’interdépendance des pays du monde ne fait aucun doute. Nous savons que les tenants de la finance américaine déterminent les aboutissants de la croissance économique des différentes parties du globe, que les émissions de dioxyde de carbone chinoises finissent par influencer les récoltes et le moyen de subsistance de beaucoup d’habitants du Vietnam, du Bangladesh, des Maldives et d’ailleurs, qu’une épidémie survenant au Mexique met en danger le rythme de la vie publique aux Etats-Unis et que la poussière des volcans islandais perturbe le trafic aérien en Europe.
ISTANBUL – La réalité épique de l’interdépendance des pays du monde ne fait aucun doute. Nous savons que les tenants de la finance américaine déterminent les aboutissants de la croissance économique des différentes parties du globe, que les émissions de dioxyde de carbone chinoises finissent par influencer les récoltes et le moyen de subsistance de beaucoup d’habitants du Vietnam, du Bangladesh, des Maldives et d’ailleurs, qu’une épidémie survenant au Mexique met en danger le rythme de la vie publique aux Etats-Unis et que la poussière des volcans islandais perturbe le trafic aérien en Europe.