CAMBRIDGE – À en croire les marchés boursiers et les taux d’intérêt, l’économie américaine a vu le pire et entame désormais une lente convalescence. Mais les ennuis de la planète ne font que commencer. Si l’on ne répare pas la mondialisation comme il se doit, les perspectives économiques seront infimes pour les pays pauvres comme pour les riches.
CAMBRIDGE – À en croire les marchés boursiers et les taux d’intérêt, l’économie américaine a vu le pire et entame désormais une lente convalescence. Mais les ennuis de la planète ne font que commencer. Si l’on ne répare pas la mondialisation comme il se doit, les perspectives économiques seront infimes pour les pays pauvres comme pour les riches.