PRINCETON – Les vagues de protestations qui embrasent l’Occident, du Chili à l'Allemagne, demeurent curieusement imprécises et sous analysées. Certains évoquent la plus importante mobilisation globale depuis 1968 – lorsque les enragés de pays très différents avaient fusionné autour de préoccupations similaires, tandis que d'autres affirment qu'il n'y a rien de nouveau dans cette mobilisation.
PRINCETON – Les vagues de protestations qui embrasent l’Occident, du Chili à l'Allemagne, demeurent curieusement imprécises et sous analysées. Certains évoquent la plus importante mobilisation globale depuis 1968 – lorsque les enragés de pays très différents avaient fusionné autour de préoccupations similaires, tandis que d'autres affirment qu'il n'y a rien de nouveau dans cette mobilisation.